Isis Bi est née à Paris en 1955 puis, elle a vécu les quarante années suivantes à Lille. Elle vit et travaille maintenant à Mosnac sur Seugne, en Charente-Maritime. Autodidacte, elle se consacre à la peinture depuis toujours, à la sculpture depuis 2002, et à son mari et ses cinq enfants sur son temps libre.
Un psychanalyste trouverait certainement matière à réflexion dans l’œuvre expressive, coquine, physique d’Isis Bi. Difficile de résister à la tentation de palper ses sculptures, comme leurs titres semblent d’ailleurs y inviter le curieux (cf.la bien nommée série des « sculptures à caresses »). Les couleurs vives, pétillantes, sucrées ajoutent encore à cette proximité voulue avec le spectateur, auquel elle souhaite surtout transmettre sa joie, ses espérances. Ses peintures, souvent abstraites, révèlent une palette plus large d’émotions, mais sont, elles aussi, empreintes d’une naïveté enfantine, à la fois charmante et intrigante.
Le désir est aveu dans l’œuvre d’Isis, comme celui pour elle de vouloir toucher les êtres par la magie, la joie, l’enthousiasme, l’émerveillement, l’amusement et l’expérience nouvelle qu’apportent la vision et le contact de ses peintures et sculptures. Son but ne serait-il pas, en rendant son public merveilleusement heureux et surpris, de lui insuffler un moment d’allégresse qui allège le cœur ?
Un psychanalyste trouverait certainement matière à réflexion dans l’œuvre expressive, coquine, physique d’Isis Bi. Difficile de résister à la tentation de palper ses sculptures, comme leurs titres semblent d’ailleurs y inviter le curieux (cf.la bien nommée série des « sculptures à caresses »). Les couleurs vives, pétillantes, sucrées ajoutent encore à cette proximité voulue avec le spectateur, auquel elle souhaite surtout transmettre sa joie, ses espérances. Ses peintures, souvent abstraites, révèlent une palette plus large d’émotions, mais sont, elles aussi, empreintes d’une naïveté enfantine, à la fois charmante et intrigante.
Le désir est aveu dans l’œuvre d’Isis, comme celui pour elle de vouloir toucher les êtres par la magie, la joie, l’enthousiasme, l’émerveillement, l’amusement et l’expérience nouvelle qu’apportent la vision et le contact de ses peintures et sculptures. Son but ne serait-il pas, en rendant son public merveilleusement heureux et surpris, de lui insuffler un moment d’allégresse qui allège le cœur ?