Auto-psy d'une œuvre,
Au travers du langage de l'inconscient, sa symbolique, ses représentations imagées, la densité des signifiants et les choix chromatiques que j'opère, je raconte des histoires universelles dont les lectures sont multiples, c'est la raison pour laquelle tous mes tableaux portent le même nom :«cent titres».
Chacune de mes compositions a pour mission de franchir la barrière du refoulement afin de converser directement avec l'inconscient de son observateur.
Avant tout il faut que le charme opère et ce, que ce soit de façon positive ou négative cela n'a guère d'importance.
Dans un premier temps l'équilibre graphique, l'harmonie des couleurs et l'esthétique de la composition attirent le regard ou le dérangent. Lorsque l'on s'approche suffisamment, c'est la diversité des éléments «symboles» qui interpelle l'observateur.
Cette densité a pour fonction d'égarer celui-ci.
Chaque scènes ayant sa propre raison d'être le tout étant fondu dans un ensemble qui apparaît comme clairement structuré et cohérent. A ce stade l'esprit se trouve submergé par une masse d'informations qu'il lui est impossible de synthétiser, aidé par le besoin naturel que nous avons à donner du sens à ce qui nous échappe, empêtré dans ce méandre de signifiants, seul l'intelligence émotionnelle peut y trouver son chemin. Il s'en suit une forme de lâcher prise qui permet à l'inconscient d'y glisser sa propre lecture et l'observateur finit par sélectionner, bien qu'inconsciemment, uniquement les différents symboles qui lui parlent et qui font résonance à sa propre histoire. C'est ainsi que l'observateur se raconte.
Au travers du langage de l'inconscient, sa symbolique, ses représentations imagées, la densité des signifiants et les choix chromatiques que j'opère, je raconte des histoires universelles dont les lectures sont multiples, c'est la raison pour laquelle tous mes tableaux portent le même nom :«cent titres».
Chacune de mes compositions a pour mission de franchir la barrière du refoulement afin de converser directement avec l'inconscient de son observateur.
Avant tout il faut que le charme opère et ce, que ce soit de façon positive ou négative cela n'a guère d'importance.
Dans un premier temps l'équilibre graphique, l'harmonie des couleurs et l'esthétique de la composition attirent le regard ou le dérangent. Lorsque l'on s'approche suffisamment, c'est la diversité des éléments «symboles» qui interpelle l'observateur.
Cette densité a pour fonction d'égarer celui-ci.
Chaque scènes ayant sa propre raison d'être le tout étant fondu dans un ensemble qui apparaît comme clairement structuré et cohérent. A ce stade l'esprit se trouve submergé par une masse d'informations qu'il lui est impossible de synthétiser, aidé par le besoin naturel que nous avons à donner du sens à ce qui nous échappe, empêtré dans ce méandre de signifiants, seul l'intelligence émotionnelle peut y trouver son chemin. Il s'en suit une forme de lâcher prise qui permet à l'inconscient d'y glisser sa propre lecture et l'observateur finit par sélectionner, bien qu'inconsciemment, uniquement les différents symboles qui lui parlent et qui font résonance à sa propre histoire. C'est ainsi que l'observateur se raconte.